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Si les chaussures de course, un sac à dos léger et les fournitures sont le "hardware" du trail running, alors l'entraînement et l'adaptabilité sont le "software" qui soutiennent votre capacité à conquérir véritablement le trail.
Sur Reddit, de nombreux nouveaux coureurs, après avoir maîtrisé l'équipement et les fournitures, posent souvent deux questions clés : "Comment devrais-je m'entraîner pour devenir un vrai trail runner ?" et "Que dois-je faire si je rencontre des conditions météorologiques extrêmes le jour de la course ?"
Ces questions peuvent sembler avancées, mais elles représentent en fait le "défi de deuxième étape" que chaque coureur doit affronter.
Dans cet article, nous allons approfondir :
- Comment s'entraîner systématiquement pour acclimater votre corps et votre esprit au rythme des montagnes ;
- Et comment naviguer calmement dans des conditions extrêmes comme la forte pluie, la chaleur intense et les températures glaciales pour assurer la sécurité et une arrivée réussie.
Q4 : Comment puis-je m'entraîner efficacement pour le trail running ? Quelles sont quelques méthodes d'entraînement uniques ?
L'essence de l'entraînement trail running ne se résume pas à "courir loin" ou "courir vite." Il s'agit de permettre à votre corps et à votre esprit de maintenir le rythme et le contrôle sur un terrain incertain. Cela signifie que l'entraînement doit être plus systématique et complet — non seulement améliorer l'endurance cardiorespiratoire, mais aussi renforcer la force du bas du corps, la réactivité au terrain, les transitions de tempo et la résistance mentale.
Cycle d'entraînement : Établir une structure systématique
L'entraînement au trail running est généralement divisé en trois phases, chacune avec un objectif différent :
Aperçu du plan d'entraînement
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Phase |
Durée |
Focus de l'Entraînement |
Activités Clés |
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1 |
8 à 10 semaines |
Construire la Base Aérobie & la Force Fondamentale |
Course à allure lente, marche en pente, et entraînement de force |
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2 |
6 à 8 semaines |
Améliorer la Capacité de Montée & l'Adaptation au Terrain |
Répétitions en côte, course technique en sentier, courses à allure |
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3 |
4 semaines |
Simuler les Conditions de Course & Réduire l'Entraînement |
Courses longues consécutives, course de nuit, test du matériel & de la nutrition. |
Recommandations :
- Les débutants peuvent adopter un plan d'entraînement de 12 à 16 semaines.
- Incluez une semaine de "récupération" toutes les 3 à 4 semaines, en réduisant votre charge de travail de 20 à 30 %.
- Maintenez une fréquence d'entraînement de 4 à 6 fois par semaine, en ajustant selon la capacité de récupération individuelle.
Endurance Aérobie : La "Fondation" de la Course en Sentier
La course en sentier implique des fluctuations d'intensité élevées et de longues durées, et le système aérobie est la base de toute performance.
- Long Slow Distance (LSD) :
- Une fois par semaine, durant 2 à 4 heures.
- Maintenez un rythme cardiaque de 65 à 75 % de votre fréquence cardiaque maximale.
- L'objectif est d'apprendre au corps à utiliser efficacement les graisses comme source d'énergie.
- Terrain recommandé : chemins de terre vallonnés, sentiers forestiers et parcs montagneux.
- Endurance en côte :
- Choisissez un sentier vallonné avec une montée de 400 à 600 m, en courant continuellement pendant 60 à 90 minutes.
- Simulez les exigences physiques d'une course de longue distance.
Points clés : L'entraînement aérobie ne signifie pas « lent », mais permet au corps de développer la capacité à une « sortie soutenue ». Beaucoup de débutants courent trop vite, ce qui rend l'entraînement superficiel.
L’« alternance montée et descente » en trail running impose des exigences bien plus élevées au corps que la course sur terrain plat.
Pour éviter d'être ralenti par les montées et d'avoir les jambes fatiguées par les descentes pendant la compétition, vous devez vous entraîner spécifiquement pour ces deux parties.
Entraînement en montée
- Organisez 1 à 2 fois par semaine, avec une pente recommandée de 8-15 %.
- Méthode 1 : Course en répétition en côte
- Montez pendant 10-15 minutes à chaque fois × 4-6 séries.
- Maintenez un rythme régulier en montée, ne cherchez pas la vitesse.
- Faites un jogging en descente pour récupérer.
- Méthode 2 : Monter avec des bâtons de trekking (entraînement avec bâtons)
- Simulez le rythme en montée lors de la compétition.
- Faites attention à la stabilité du point d'appui du bâton et à la coordination du rythme.
Entraînement en descente
- La descente est la partie où les débutants sont les plus susceptibles de se blesser (en particulier à cause des vibrations excessives du quadriceps).
- Points clés de l'entraînement :
- Petites foulées avec une cadence rapide.
- Gardez votre centre de gravité légèrement en avant, avec les pieds positionnés sous le corps.
- Regardez 3 à 5 mètres devant vous pour anticiper le terrain.
- Suggestions d'entraînement :
- Choisissez une pente douce avec un dénivelé de 5 à 8 %.
- Courez 3 à 4 séries de 6 à 10 minutes à chaque séance.
- Au début, concentrez-vous sur le contrôle et la stabilité, puis augmentez progressivement votre vitesse.
Alternance Montée et Descente : La stabilité est la clé de l'efficacité et de la sécurité
Le mouvement "montée et descente" en trail running impose des exigences bien plus grandes au corps que la course sur terrain plat.
En courant en montée, votre fréquence cardiaque augmente rapidement, sollicitant davantage vos muscles des jambes ; tandis qu'en descente, vos muscles subissent l'impact de la contraction excentrique.
Beaucoup d'erreurs des coureurs débutants ne sont pas dues à la condition physique, mais plutôt au contrôle de l'équipement — balancement du sac, centre de gravité instable et respiration perturbée — autant de facteurs qui peuvent aggraver la fatigue.
Par conséquent, un gilet de trail running bien ajusté et stable est crucial pour la capacité d'un coureur à maintenir un rythme "fluide" en montagne. Par exemple, le sac Haimont Running Hydration Vest, avec son système de réglage multipoint et sa coupe très extensible, reste bien en place lors des montées et descentes, empêchant les mouvements de charge de perturber votre foulée. Son tissu déperlant reste léger et respirant même en cas de transpiration et de pluie, permettant aux coureurs de se concentrer sur leur respiration et leur rythme, plutôt que sur le contenu du sac.

En montée, les poches poitrine du gilet Haimont pour bouteilles d'eau et gels énergétiques permettent un accès fluide. En descente, sa conception ajustée au dos répartit efficacement l'inertie du balancement, réduisant l'impact sur les épaules et le dos et permettant au corps de s'adapter plus naturellement à la pente.
Pour les coureurs de trail, la stabilité n'est pas seulement une garantie de vitesse ; elle est aussi essentielle pour la sécurité.
Un gilet léger, stable et déperlant est votre arme secrète pour rester centré tout en suivant le rythme de la montagne.
Renforcement musculaire et entraînement du tronc : "l'armure invisible" qui soutient le corps
Le trail n'est pas un sport d'endurance pure. Il teste la résistance et le soutien du corps sur un terrain complexe.
Force des membres inférieurs
- Exercices recommandés : squats, fentes, montées sur banc, et soulevés de terre sur une jambe.
- Fréquence d'entraînement : 2-3 fois par semaine, 40-60 minutes à chaque fois ;
- Focus : Renforcer les quadriceps, le grand fessier et les muscles du mollet.
Stabilité du tronc
- Exercices recommandés : gainage, appui latéral, course en montagne, pont fessier, dead bug.
- Objectif : Maintenir la stabilité du bassin et du haut du corps lors des montées et descentes pour réduire le gaspillage d'énergie.
Force des membres supérieurs et du dos
Les coureurs de trail portent souvent des sacs d'eau, des provisions, des vestes et d'autres équipements, donc l'endurance de la charge du haut du corps est également cruciale.
Des pompes, tractions, aviron avec poids et autres exercices peuvent être ajoutés.
Conseils d'entraînement :
- Après chaque course en sentier, prévoyez 15-20 minutes pour un entraînement de renforcement.
- La persistance à long terme peut réduire significativement le risque de blessures aux genoux et aux chevilles.
- Courses techniques et courses tempo : laissez votre corps s'adapter à la "piste réelle".
Courses techniques
- Choisissez un terrain complexe comme les racines d'arbres, les rochers et le gravier.
- Maintenez un tempo modéré (75-80 % de votre fréquence cardiaque maximale).
- Concentrez-vous sur le placement des pieds, la flexibilité des chevilles et le jugement du terrain.
- Vous pouvez ajouter des "exercices de course nocturne" pour améliorer votre perception de l'itinéraire dans des environnements sombres.
Courses tempo
- Une fois par semaine, pendant 30-40 minutes.
- Maintenez l'intensité à 80-85 % de votre fréquence cardiaque maximale.
- Objectif : Augmenter votre seuil de lactate afin de pouvoir maintenir votre vitesse dans la seconde moitié de la course.
Entraînement par intervalles
- Intégrez l'entraînement par intervalles dans les 6 semaines précédant la course, une fois par semaine.
- Exemple : 800 mètres × 6 séries (alternant rapide et lent) ;
- Améliorez la puissance explosive et la vitesse de récupération.
Récupération et entraînement en trail
La récupération en trail est plus importante qu'en course sur route car l'entraînement en montagne cause plus de dommages musculaires.
- Course de récupération : 30 à 45 minutes de jogging facile avec une fréquence cardiaque contrôlée à 60-65 %.
- Entraînement croisé :
- Le cyclisme, la natation, l'escalade et le yoga sont tous possibles.
- Maintenez la stimulation cardiopulmonaire tout en réduisant la charge d'impact.
- Massage et étirements : Utilisez un rouleau en mousse pour détendre les quadriceps, les muscles fessiers et les mollets.
- Sommeil et nutrition :
- Assurez-vous de dormir 7 à 8 heures par jour.
- Consommez des glucides et des protéines dans les 30 minutes suivant l'entraînement.
Formule de récupération :
- L'entraînement apporte de la stimulation, la récupération apporte du progrès.
- Sans récupération adéquate, peu importe la quantité d'entraînement, cela ne deviendra qu'un fardeau.
Entraînement mental et stratégique
Le trail running n'est pas seulement un test de forme physique, mais aussi un test d'endurance mentale et de capacité de prise de décision.
- Entraînement solo à long terme : Apprenez à coexister avec la solitude et à maintenir un sens du rythme.
- Simulation de situations difficiles : Créez intentionnellement des scénarios d'"hypoglycémie" ou de "montée en fatigue" pendant l'entraînement pour apprendre à ajuster l'alimentation et le rythme.
- Visualisation avant la course : Simulez le parcours, la répartition des montées et la planification des points de ravitaillement pour construire une "mémoire corporelle" à l'avance.
Conseils d'un coureur professionnel :
"L'entraînement au trail running ne vous rend pas seulement plus fort, il vous apprend aussi à réfléchir malgré la fatigue et à rester calme dans le chaos."

Q5 : Que dois-je faire si je rencontre des conditions météorologiques extrêmes pendant une course de trail ?
La chose la plus imprévisible en trail running n'est pas votre rythme, mais la météo.
Des vallées brûlantes aux tempêtes de neige matinales en montagne, les conditions météorologiques extrêmes sont une épreuve que tout coureur de trail devra affronter tôt ou tard. Cela teste non seulement la forme physique, mais aussi la préparation, le jugement et le sang-froid. Sur le subreddit r/trailrunning, de nombreux posts d'"aide" de débutants proviennent souvent de changements météorologiques :
"Je me suis effondré pendant une course sous une forte pluie. Mes chaussures sont trempées d'eau, et mes pieds sont maintenant cloqués. Que dois-je faire ?"
"J'ai bu 3 litres d'eau sous la chaleur et j'ai toujours des crampes. Est-ce parce que je manque d'électrolytes ?"
"La température est tombée à 0 degré Celsius la nuit, et j'ai commencé à trembler. J'ai failli ne pas y arriver." Ce ne sont pas des cas isolés. Ci-dessous, nous analyserons systématiquement des stratégies pour faire face à quatre conditions météorologiques extrêmes courantes.
Étapes extrêmement chaudes : Courez plus lentement, levez-vous plus tôt et appliquez une protection solaire complète
Identification des risques
- Lorsque les températures dépassent 28°C et que l'humidité est élevée, le risque de déshydratation augmente considérablement.
- Si votre température corporelle dépasse 39°C, vous pouvez présenter des signes de coup de chaleur (vertiges, nausées et brûlures cutanées).
Équipement
- Vêtements : Des vêtements fonctionnels légers, à séchage rapide et résistants aux odeurs sont essentiels. Par exemple, le Haimont Mountain Wind Trail T-Shirt utilise une structure de tissu très respirante et une technologie anti-odeurs. Même en courant à haute intensité dans des sections chaudes et humides de la course, il peut garder le corps au sec et éviter l'inconfort dû aux frottements causés par des vêtements humides.
- Protection de la tête : Chapeau de soleil, foulard ou serviette glacée (trempez-la dans l'eau et enroulez-la autour de votre cou pour dissiper la chaleur).
- Système d'hydratation : Mouillez votre tête et enveloppez deux soft water bottles (dans la poche avant) ainsi que des comprimés d'électrolytes ou des pilules de sel.
- Stratégies pratiques
- Rythme d'hydratation : Buvez de petites gorgées d'eau toutes les 15 à 20 minutes, plutôt que d'attendre d'avoir soif.
- Stratégie énergétique : Choisissez des gels énergétiques ou des blocs à mâcher contenant des électrolytes, en évitant les produits riches en sucre.
- Méthodes de refroidissement : Mouillez votre foulard, mettez des glaçons dans votre casquette et versez de l'eau aux postes d'assistance.
- Stratégie de rythme : Réduisez votre allure de course de 10 à 15 % lorsque vous courez par temps chaud pour économiser de l'énergie et éviter la surchauffe.
Conseil :
"Ne vous poussez pas aux extrêmes de la chaleur. Il vaut mieux sacrifier votre performance que de perdre la raison."
Si vous ressentez des vertiges persistants, des frissons ou de la confusion, arrêtez-vous immédiatement, refroidissez-vous et consultez un médecin.
Pluie forte et terrain glissant : la stabilité est primordiale ; l'antidérapant et l'imperméabilité sont tout aussi importants
Les orages de montagne turbulents arrivent souvent soudainement, et les routes boueuses ainsi que les rochers glissants peuvent facilement provoquer chutes ou faux pas. Dans ces moments, les coureurs doivent se souvenir d'un mot : stabilité.
- Ajustez votre foulée et votre cadence : raccourcissez votre foulée, réduisez votre vitesse en descente et gardez votre centre de gravité directement sous votre corps. Évitez les arrêts brusques ou les forces latérales en terrain boueux.
- Faites bon usage des bâtons de trekking : en conditions glissantes, les bâtons sont presque une « troisième jambe » efficace. Par exemple, les bâtons de trekking ultra-légers en carbone et aluminium Haimont, fabriqués à partir d'une structure hybride en fibre de carbone et alliage d'aluminium, allient solidité et légèreté, offrant un soutien stable sous une forte pluie et sur terrain rocheux, aidant les coureurs à garder l'équilibre et à répartir l'impact de la descente.
- Lors des courses de trail longue distance, surtout par temps pluvieux, les bâtons de trekking réduisent non seulement la pression sur vos genoux, mais offrent aussi une surface sûre et antidérapante lors des traversées à gué, des ponts et des descentes raides. Priorisez à la fois l'imperméabilité et l'isolation : une fois trempé par la pluie, votre corps perd facilement de la chaleur. Il est recommandé de choisir un haut léger, coupe-vent et à séchage rapide (comme le Haimont Mountain Wind Trail T-Shirt) pour bloquer le vent froid et maintenir une température corporelle stable.
- Adaptez-vous rapidement aux points de ravitaillement : sous une forte pluie, la température aux stations de ravitaillement peut varier considérablement.
Lors de la recharge en énergie, évitez autant que possible le vent et la pluie pour prévenir une chute soudaine de la température corporelle.
Les pluies diluviennes testent non seulement la vitesse, mais aussi le jugement et le sang-froid. Un coureur de trail vraiment mature doit maîtriser l'utilisation de l'équipement — des semelles antidérapantes et bâtons de trekking aux coupe-vent légers — pour maintenir stabilité et sécurité face aux éléments.
Stratégies pratiques
- Ajustez votre foulée : raccourcissez votre pas, plantez fermement vos pieds et penchez-vous légèrement en avant pour maintenir votre centre de gravité.
- Utilisez des bâtons de trekking pour l'équilibre, surtout en descente. Ne vous concentrez pas sur la vitesse en ligne droite ; utilisez les zones sèches dans les bois pour éviter l'eau stagnante.
- Si vos chaussures sont complètement trempées, changer vos chaussettes pendant la course peut efficacement prévenir les ampoules.
Lors des courses par temps froid ou nocturnes : la chaleur centrale est primordiale, et l'énergie est la source de chaleur
Identification des risques
- Lorsque les températures descendent en dessous de 5°C et que les vents sont forts, la perte de chaleur s'accélère.
- Une baisse de la température corporelle la nuit combinée à la faim peut facilement conduire à une hypothermie légère (frissons, faiblesse et ralentissement de la parole).
Préparation de l'équipement
- Système de superposition :
- Couche de base : couche de base à séchage rapide (évacuation de l'humidité)
- Couche intermédiaire : couche isolante légère (polartec ou duvet)
- Couche extérieure : veste coupe-vent et imperméable (avec capuche)
- Petits articles : bonnet, tour de cou, gants, chaussettes de rechange
- Isolation : couverture thermique d'urgence (équipement obligatoire pour la course).
Réponse pratique
- Maintenez l'apport calorique : consommez 200 à 300 kcal par heure (gels énergétiques, noix, beurre de cacahuète).
- Portez plusieurs couches dans les zones venteuses ou en haute altitude, et évitez les périodes prolongées.
- Si vous commencez à frissonner ou ressentez un engourdissement dans vos doigts, ajoutez immédiatement plus de couches et reprenez rapidement des forces.
- La nuit, vous pouvez placer une bouillotte chauffante autour de la taille ou du dos pour aider à rester au chaud.

Orages, brouillard épais et vents forts : la survie est la priorité ; terminer la course est secondaire
Identification des risques
- La foudre est l'une des conditions météorologiques les plus dangereuses lors des courses alpines.
- Le brouillard et les vents forts peuvent souvent provoquer désorientation et chutes.
Équipement
- Équipement d'urgence : sifflet, lampe frontale (entièrement chargée + piles de rechange), vêtements réfléchissants.
- Dispositif de localisation : montre GPS + carte hors ligne du parcours de la course (téléchargée en mode hors ligne).
- Protection : chapeau coupe-vent, lunettes, couche extérieure imperméable.
Réponse pratique
- Lors d'un orage, descendez rapidement vers un endroit plus bas. Ne vous arrêtez pas sur les crêtes, sous les arbres ou dans des zones dégagées.
- Gardez les bâtons de randonnée et les bouteilles métalliques éloignés de votre corps. En cas de brouillard épais : suivez les balises du parcours, ne suivez pas aveuglément les autres et gardez un jugement calme.
- Par vents forts : penchez-vous légèrement en avant, maintenez un centre de gravité bas et ajustez la tension des sangles de votre sac à dos pour éviter les balancements.
- Si le risque d'hypothermie augmente, arrêtez-vous immédiatement dans un endroit sûr, enveloppez-vous dans une couverture thermique et attendez les secours médicaux.
Conseils d'expérience
« Finir la course vient toujours après la sécurité. »
Même si vous abandonnez une course, c'est plus gratifiant que d'être retrouvé par une équipe de secours.
La course en sentier est plus que simplement « courir », c'est un voyage de coexistence avec la nature.
Des chaussures de course aux sacs à dos légers, des plans d'alimentation à la résistance aux éléments — les confusions initiales des coureurs en sentier font en réalité partie du parcours de croissance de chaque coureur.
Le matériel vous aide à aller plus loin, la nutrition vous permet de courir plus régulièrement, mais l'entraînement et l'adaptabilité sont les marques de la vraie maturité sur le sentier. La course en sentier n'est pas simplement une question de vitesse et de classement ; c'est davantage un dialogue avec la nature et vous-même.
Vous apprendrez à rester calme sous la chaleur, stable sous la pluie et persévérant dans le froid de la nuit. Chaque montée et virage met à l'épreuve votre esprit et votre corps. Que vous soyez un débutant posant des questions sur Reddit ou un coureur préparant votre première course de 50 km, souvenez-vous :
La préparation n'est pas un fardeau qui restreint votre liberté ; c'est la confiance qui vous permet de courir librement dans les montagnes. À chaque séance d'entraînement et course, Haimont vise à vous aider à passer de « gérer l'environnement » à « ressentir le sentier » grâce à un équipement léger, une protection fiable et un design professionnel.
Parce que les plus beaux paysages se trouvent toujours sur le chemin où vous n'abandonnez jamais.